Amour, je t’appelle.
Même absent, irréel.
Je ne te nomme pas
Et te parle tout bas.
Je te fabrique unique
Un peu comme aucun.
Comme un puzzle magique
Avec un peu de chacun.
Avec eux, mes éphémères,
Je crains de te confondre.
Je te préfère chimère
Pour eux peux-tu répondre ?
Désormais égoïste
J’ai peur de me donner
Peur de m’abandonner.
Je sais que je résiste.
S’il est habituel
Qu’Amour, je t’appelle,
Renonce à exister,
Je suis Ambiguïté.
J’aime beaucoup ce poème qui me parle vraiment car j’aspire à l’amour en en ayant très peur. Bonne journée
Très bonne journée à toi aussi.
Je n’aurai pas de connexion Internet ce week-end : je pars du côté de Jupilles.
A très bientôt.